• Joyeuses fêtes !

     

     

     

    Je suis à la bourre ! Je manque de temps !

    Mais je passe vous souhaiter à tous et à toutes de très joyeuses fêtes de fin d'année !

    Profitez de votre famille, de vos enfants, de votre compagne, de votre compagnon et de tous les êtres qui vous sont chers.

    Ne prenez pas trop de bonnes résolutions pour l'année prochaine, car, soyons honnête, on ne les tient (presque) jamais.

    Faites-vous plaisir, profitez de tous les instants. Le temps passe (trop) vite.

    Joyeux Noël et Bonne Année à tous !

     


    3 commentaires
  • Maman à bout de souffle a besoin d'air !

     

     

    Pffff que c'est dur d'être maman !

    Zéro répit.

    Zéro nuit complète.

    Zéro énergie.

    Je ne sais pas si c'est la Boulette qui est particulièrement épuisante, ou si c'est le lot de toutes les mamans, mais voilà maintenant bientôt 8 mois que j'attends un break.

    Un moment de far niente (et quand je dis far niente, je veux dire vraiment rien foutre, sans rien avoir à penser, à faire, ou encore sans être crevée et se dire "faudrait que je dorme sinon je tiendrai pas le coup").

    Je me souviens lors des 4 premiers mois harassants où la Boulette ne lâchait pas mon sein ni mes bras plus de quelques minutes par jour, je me disais : "Allez, courage, dans 1 mois ou 2 on en parlera plus ! La Boulette fera ses nuits, toi aussi, et tu péteras la forme !".

    Mouais, ben on y est toujours pas, après 8 mois d'espoir.

    Si la passade "J'hurle nuit et jour et je ne quitte pas le sein de maman pour cause RGO" est définitivement derrière moi (et heureusement, sinon je n'aurais pas donné cher de ma peu), d'autres aventures difficiles sont venus prendre sa place : des virus à n'en plus finir, entre autres, qui rendent compliqué le repos auquel j'aspire enfin.

    Ces virus (dont la moitié ont été transmis à la maman de la Boulette - qui n'avait pas besoin de ça) anéantissent les petits mais réels progrès de sommeil nocturne de ma fille, qui était parvenue ces 10 derniers jours à ne se réveiller plus qu'une fois par nuit (malgré un réveil définitif très très matinal - comptez 6h00 les bons jours).

    De plus, ils mettent en avant le caractère particulier de ma fille (car oui, je ne peux pas non plus tout attribuer aux petites maladies) qui, comme tout enfant (ou homme - soyons réalistes), devient particulièrement pénible lorsqu'elle est malade.

    Couinements intempestifs, refus de s'occuper seule (même 3 minutes), bras non stop, impatience, râlements constants.

    Je dois me battre avec elle pour tout : la faire manger, la soigner, la faire dormir.

    Et, malheureusement, le pire, est que, même lorsqu'elle est bien (ce qui devient de plus en plus rare), je constate que la Boulette conserve ses traits de caractère bien trempés.

    Elle doit toujours être occupée, stimulée afin qu'elle ne râle pas.

    Elle hurle quand elle a faim et ses pleures cessent seulement lorsqu'elle sent la tétine dans sa bouche.

    La changer est une épreuve : elle se tortille dans tous les sens et gare à moi si je tente de la remettre en place (hurlements de mécontentements assurés !).

    Pour pouvoir l'habiller sans trop de couinements, je dois faire preuve d'une imagination débordante afin de sans cesse la distraire (jamais 2 fois avec la même technique, non non non !).

    La Boulette aime être dans le bain, mais l'en sortir, l'essuyer, et lui enfiler body et pyjama semble lui provoquer une souffrance ingérable nécessitant des pleures inconsolables (oui, ma fille est une comédienne).

    La coiffer, nettoyer ses oreilles ou même lui essuyer la bouche après sa panade provoque couinements de mécontentements...

    En 2 mots : La Boulette sait ce qu'elle veut et surtout ce qu'elle ne veut pas, et se fait clairement comprendre.

    Pour un parent en pleine forme et en possession de toutes ses capacités, c'est fatigant.

    Mais pour un parent déjà épuisé, c'est juste éreintant.

    J'aspire donc à un break.

    Un moment sans virus, sans râleries, sans pleures, sans réveils nocturnes.

    Un moment pour me ressourcer.

    Pour ne penser qu'à moi, moi qui me suis mise entre parenthèse depuis la MAP pour le bien-être de ma fille.

    Pour dormir une nuit complète, sans entendre hurler dans le baby-phone toutes les 3 heures.

    Juste un break. Juste souffler.

    Un bol d'air, pour pouvoir affronter ce qui nous attend encore.

     

     

     

     


    7 commentaires
  • La roséole de bébé... Bienvenue en enfer !

     

     

    Depuis 2 mois et demi, j'ai recensé (oui oui j'ai compté) 5 rhumes, 4 rhino-pharyngites, 2 gastro-entérites, une laryngite et une otite chez la Boulette...

    Pensez-vous que nous allions être un peu tranquilles après ces 10 semaines de virus successifs ?

    Il ne fallait pas rêver ! La roséole, ou 6ème maladie infantile, s'est invitée chez nous.

    Petit résumé de ces 5 jours infernaux...

     

    Mercredi 7 décembre, après une journée maman/boulette chez papy, et une visite prévue de longue date chez le pédiatre (qui ne trouve rien chez la Boulette si ce n'est une mini-bronchiolite qui ne nécessite pas de traitement et une oreille un peu enflammée) la Boulette semble épuisée.

    Mon bébé me semble chaud. Le thermomètre me confirme que la Boulette a un peu de fièvre (38,2). Rien d'inquiètant. Je lui donne un anti-douleurs pour faire baisser la fièvre et qu'elle passe ainsi une bonne nuit.

    Le lendemain matin, la fièvre a baissé. Le Chéri amène donc la Boulette à la crèche.

    Je vais, comme d'habitude, la rechercher. Les puéricultrices m'assurent qu'elle a passé une bonne journée (bien mangé, bien dormi, gna gna gna). Mais après sa sieste du soir, à nouveau, la température grimpe. Ni une ni deux, je ressors un suppositoire (me bats un peu avec la Boulette qui serre les fesses). La Boulette mange. Tout va bien. Je suis rassurée. Elle me semble un peu encombrée. Par acquis de conscience, je lui fait un aérosol au sérum phy.

    A 2 heures du matin, lors du bibi habituel, je la trouve encore chaude. Un deuxième anti-douleurs plus tard, la Boulette se rendort. Une fois de plus, le lendemain matin, la fièvre semble tombée. J'hésite cependant à la mettre à la crèche, mais mon état de fatigue déplorable l'emporte, et je l'y amène, en prévenant les puéricultrices de sa poussée de fièvre nocturne.

    Je suis restée en alerte près de mon téléphone, ce vendredi 9 décembre, mais rien.

    Le soir, même scénario, la température monte. Mais cette fois, la Boulette refuse de manger. La nuit, la fièvre est toujours bien présente et monte jusqu'à 39,5.

    Le lendemain, samedi, je commence sérieusement à m'inquiéter : la fièvre ne descend plus malgré les anti-douleurs, et la Boulette ne mange quasiment rien. Elle semble abattue, mais nous parvenons, le Chéri et moi, à lui décrocher tout de même quelques sourires qui me rassurent un peu. La boulette se vide : elle va à selles une dizaine de fois sur la journée. 

    Vers 19h00, après un énième refus de manger, je décide de contacter les urgences. Après avoir expliqué la situation, la pédiatre de garde me conseille de venir afin qu'elle puisse l'examiner.

    Nous voilà donc partis, la Boulette, le Chéri et moi, pour une soirée aux urgences.

    Après une attente qui me semble interminable, la Boulette est examinée : rien aux poumons, mais l'examen des oreilles n'est pas concluant. Il y a trop de cérumen et de croûtes pour écarter une otite. Lors de l'examen, des secrétions jaunes sortent des yeux de ma fille. Je suis un peu terrorisée. La Boulette a perdu du poids (normal, à force de se vider et de ne rien manger depuis 24h).

    La pédiatre me fait un peu paniquer : si elle ne remange pas rapidement, il faudra revenir afin de la sonder. Cette image me panique, mais je me raisonne : la pédiatre nous prescrit des antibiotiques, des gouttes pour les yeux, pour le nez, et pour les oreilles. Avec tout cet arsenal, l'état de la Boulette ne peut que s'améliorer !

    Après un passage à la pharmacie de garde afin de récupérer les médicaments prescrits, nous rentrons donc à la maison et soignons la Boulette qui malgré la fièvre, se laisse difficilement faire.

    Epuisée, elle s'endort, et nous aussi.

    A 3 heures du matin, la Boulette se réveille en pleurant. La fièvre est montée à 39,7. Son visage est recouvert de glaires et de morve, et elle a vomit dans son lit. L'émétophobe a envie de partir en courant. La maman inquiète prend le dessus. Je nettoie le visage de ma fille, la mouche, change ses draps, lui redonne un anti-douleurs, cette fois en sirop (car les fesses de la Boulette ne supporte plus les suppos...) et la berce pour l'apaiser.

    La Boulette se rendort à 5h du matin, mais je reste aux aguets.

    Vers 7h, la Boulette appelle encore. La fièvre a enfin baissé. Malgré tout, la Boulette semble toujours abattue. Je parviens à lui faire avaler un peu de lait.

    Attendus par mes parents pour fêter mon trentième anniversaire (me fait vieille, je sais), nous y allons. La fièvre ne remonte plus de la journée. Je suis un peu rassurée. La Boulette dormira tout l'après-midi. Elle récupère.

    Lors de son réveil, je la change et découvre des petites plaques et boutons rouges sur son abdomen. Je les montre au Chéri qui me dit que ce n'est rien : probablement une petite réaction au nouveau body qu'elle porte, ou aux draps du lit parapluie de chez papy.

    Le soir, la Boulette accepte encore un peu de lait, tout comme dans la nuit, où elle me réveille et semble avoir faim. La température est toujours basse. Je suis rassurée, ça sent la fin !

    Hier matin, je propose un biberon à la Boulette qui avale 90 ml ! Je suis aux anges. Mais la panique cède vite à la joie : La Boulette vomit en jets puissants tout ce qu'elle vient d'avaler.

    Je suis seule avec ma fille. A nouveau, l'émétophobe en moi a envie de s'enfuir, mais la raison l'emporte : ma fille avant tout.

    Je constate ensuite que les boutons de la veille se sont multipliés sur son torse, mais aussi sur son dos et le haut de son front. Le Chéri a tort : ce n'est pas rien. Selon moi, elle ne supporte pas l'antibiotique qu'on lui administre depuis samedi soir. Puis, merci Google, je constate que la chronologie des événements et les symptômes de la Boulette correspondent trait pour trait à la roséole.

    Je contacte notre pédiatre, qui nous recevra en début d'après-midi et confirmera mon diagnostic. La Boulette a bien contracté la roséole. Elle a encore perdu du poids, mais le pédiatre me rassure : elle est à la fin de la maladie puisque les boutons sont sortis et que la fièvre est partie. L'appétit va revenir. Nous poursuivons les antibiotiques puisque, même s'ils sont inefficaces pour la roséole, agissent sur l'hypothétique otite qui ne peut toujours pas être vérifiée à l'examen, cérumen oblige.

    En fin de journée, la Boulette, en effet, réclame à manger. Elle boit peu, mais elle boit, et ne vomit plus. Elle redevient peu à peu elle-même, le bébé souriant mais couineur et exigeant.

    Je souffle enfin : ma fille est en voie de guérison. 

    Pas maman, puisque depuis hier, elle a, elle aussi, contracté une gastro (la Boulette devait donc avoir, en plus de la roséole, une bonne gastro-entérite).

    Aujourd'hui, la Boulette continue à manger. De plus en plus, même si encore bien peu par rapport à la semaine précédente. Elle restera encore quelques jours avec sa maman pour se retaper complètement, avant qu'elle ne retourne en crèche... Et contracte un nouveau virus !

     

     


    5 commentaires
  • Le coussin d'allaitement (Doomoo) : utilisation et avis

     

     

    Le coussin d'allaitement (dit aussi coussin de grossesse ou coussin de maternité) a été un de mes premiers achats de femme enceinte. Je n'avais pas encore la certitude d'allaiter, mais j'e n'en avais entendu que du positif étant donné son côté multi-fonctions (car oui, le coussin d'allaitement est utile, même si vous n'allaitez pas !). 7 mois après la naissance de ma fille, je ne peux que confirmer mes premières impressions : s'il y a bien un achat qui m'a été utile (et qui l'est toujours, par ailleurs), c'est bien celui-là ! J'avais à l'époque opté pour le coussin de grossesse de la marque "Doomoo" et je ne le regrette pas. Décryptage.

     

    Le coussin d'allaitement ou de grossesse : un coussin multi-usages

     

    Pendant la grossesse, le coussin d'allaitement vous permettra d'adopter une position confortable pour dormir (ou tout simplement pour vous reposer dans votre canapé).

    Selon la position dans laquelle vous l'installez, le coussin de grossesse soulagera votre dos, vos jambes ou votre ventre (ou les 3 en même temps !), et vous permettra d'adopter ainsi une position dans laquelle vous vous sentirez (enfin!) bien.

    Le coussin d'allaitement vous sera également utile durant vos cours de préparation à la naissance, et, pourquoi pas, durant l'accouchement.

    Le coussin d'allaitement (Doomoo) : utilisation, conseils et avis       Le coussin d'allaitement (Doomoo) : utilisation, conseils et avis     

     

    Par la suite, après l'accouchement, le coussin de maternité trouvera son usage premier : vous faciliter la tâche lorsqu'il s'agira de l'allaiter.

    Il vous permet en effet de soutenir vos coudes et ainsi soulager vos bras, mais aussi votre bébé afin qu'il soit à la bonne hauteur pour trouver votre sein.

    Notez que si vous n'allaitez pas, le coussin d'allaitement vous sera tout aussi utile puisqu'il vous permettra de soutenir votre bébé et de le nourrir dans une position tout aussi agréable pour vous que pour lui.

     

    Le coussin d'allaitement (Doomoo) : utilisation, conseils et avis             Le coussin d'allaitement (Doomoo) : utilisation, conseils et avis

     

    Vous le découvrirez aussi très vite, le coussin de maternité forme également un merveilleux et confortable nid douillet pour votre bébé. Sa consistance molle mais résistante permet en effet au coussin d'épouser parfaitement le corps et les formes de votre petit bout.

    Beaucoup de bébés qui ont des difficultés à s'endormir trouvent rapidement le sommeil dans ce qui devient un petit cocon.

    Le coussin d'allaitement (Doomoo) : utilisation, conseils et avis

     

     

    Mon avis sur le coussin d'allaitement Doomoo (Babymoov)

     

    Parmi les différents types et marques de coussin de grossesse, mon choix s'est porté sur les coussins d'allaitement Doomoo.

    Outre leur design sympa et coloré, le coussin Doomoo est, j'ai pu le constater, ultra résistant.

    Et croyez-moi, je m'en suis servie ! Dès le 4ème mois de grossesse, ce coussin ne m'a pas quitté : dans mon lit pour m'aider à dormir dans une position confortable et me soulager du mal de dos et des crampes aux mollets, dans mon canapé pour regarder la télé confortablement (et arrêter de me retourner dans tous les sens - le Chéri était enfin comblé). Par la suite, j'ai allaité exclusivement un bébé RGO pendant 5 mois, avec lequel j'ai dormi en position quasi verticale plusieurs semaines durant. Et je peux vous dire que dans ces cas-là, un coussin d'allaitement est juste indispensable ! Ma fille a également fait plusieurs de ses rares siestes sur ce coussin. Aujourd'hui, à 7 mois, je m'en sers toujours, notamment pour entourer ma fille d'un "pare-chocs" quand elle se met en position assise (mais encore bancale) et ainsi pouvoir la laisser quelques secondes en toute sécurité.

    Bref, depuis bientôt 1 an, le coussin de maternité Doomoo nous suit, ma fille et moi, et nous rend de fiers services ! Le must ? Il est toujours dans un état impeccable !

    Sa composition en micro billes lui permet d'obtenir une densité parfaite, ferme mais pas trop, et de s'adapter parfaitement à la morphologie de maman et de bébé. Il est ultra confortable !

    Sa forme initiale en U peut être aisément modelée pour adopter la forme désirée (mais revient toujours à sa forme de base).

    Enfin, sa taille de 122 cm est parfaite : pas trop grand et donc facile à transporter et non encombrant, ni trop petit afin de pouvoir le caler facilement entre ses jambes durant la grossesse tout en maintenant le dos et le ventre (si vous mesurez 1m80 cependant, optez pour un modèle plus grand !).

     

    Le coussin d'allaitement (Doomoo) : utilisation, conseils et avis

     

    En bref, le coussin d'allaitement Doomoo est pour moi LE coussin d'allaitement idéal : esthétique, confortable et résistant. Un des achats les plus rentables que j'ai fait depuis le début de ma grossesse. Si vous hésitez donc, n'hésitez plus !

    PS : Je n'ai pas été subventionnée par la marque Doomoo pour la rédaction de cet article : mon avis est donc totalement impartial !

     

     


    5 commentaires
  • 7 mois... Bon anniversaire la Boulette

     

     

    La Boulette a 7 mois aujourd'hui.

    Il y a 7 mois, la Boulette faisait 2kg450 et mesurait 46 cm.

    Une petite crevette, qui, même si elle conserve son petit format, a bien grandit.

    Elle se tient assise comme une grande, mange ses panades avec délectation et engouement.

    La Boulette tente de ramper, mais recule au lieu d'avancer (ce qui l'énerve prodigieusement - on la comprend).

    La Boulette râle beaucoup (comme son papa) et manque de patience (comme son papa, aussi).

    Quand la Boulette veut quelque chose, il le lui faut tout de suite (comme son...).

    La Boulette se retourne sur la table à langer et tente d'attraper tout ce qui se trouve autour d'elle, ce qui rend les tâches "changement de couche", "soins" et "habillement" un tantinet difficiles et énervantes.

    Mais malgré ses petits défauts, la Boulette est merveilleuse.

    Elle est en tout cas ma merveille.

     

    Difficile, en quelques mots, de tirer un bilan de ces 7 derniers mois.

    Ils ont été rempli de joie, de bonheur, d'émerveillements quotidiens.

    Mais aussi de doutes, de fatigue et de remises en question.

    Les 4 premiers mois ont été exténuants, harassants.

    Le RGO de ma fille m'a épuisée, autant physiquement que psychologiquement.

    Certains jours, à cause du manque de sommeil, à cause des 10 kilos perdus, à cause du désespoir et de l'impuissance, à cause du sentiment que ça ne s'améliorerait jamais, à force de voir ma fille souffrir et hurler sans pouvoir la soulager, je me suis même mise à émettre des doutes quant à mes compétences de maman.

    "Peut-être n'aurais-je pas dû la mettre au monde".

    Pensée furtive, culpabilisante, et heureusement vite balayée par les petits sourires de ma fille lors de ses moments de calmes.

    Les 7 mois les plus merveilleux de ma vie, les 7 mois les plus durs, aussi.

    La Boulette a changé ma vie, du jour au lendemain.

    Faisant de moi une maman.

    Me faisant passer du statut de jeune fille à celui de mère.

    Me faisant oublier mes anciennes priorités, qui m'apparaissent tellement futiles aujourd'hui.

    Me faisant aimer d'une manière inconditionnelle.

    Faisant naître en moi des sentiments d'amour et de protection jusque là inconnus.

     

    Je suis la maman d'une petite fille de 7 mois.

    Mon trésor, la chair de ma chair.

    Le début d'une merveilleuse aventure.

    Celle de maman.

     

    Joyeux anniversaire, ma Boulette.

     

     

     


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires