• Bébé voyage : Le sommeil de bébé en vacances

     

    Nous revenons de deux semaines de vacances avec la Boulette.

    Loin de ses habitudes, de son environnement familier et avec un rythme différent du quotidien, j'appréhendais beaucoup la manière dont elle allait s'adapter à ces changements.

    Je m'inquiétait en particulier sur l'impact de tout cela sur son sommeil.

    Si vous nous suivez depuis peu, vous l'ignorez probablement, mais parvenir à endormir la Boulette dans son lit et ce sans réveils nocturnes intempestifs a été un long "combat" (que j'ai fini par gagner peu après avoir fêté ses 12 mois).

    Bref, revenir au point mort à cause des vacances était une option que je redoutais, mais que je devais envisager.

    Même s'il est naïf d'envisager que les mots "vacances" et "bébé" réunis dans une même phrase puissent rimer avec "repos" et "far niente", je ne tenais pas à ce que ces quelques jours deviennent un calvaire à cause d'un bébé fatigué qui ne parvient pas à trouver le sommeil.

    J'avais donc mis toutes les chances de notre côté pour que la Boulette dorme (longtemps et sans réveils, si possible) une fois sur place :

    Son doudou peluche Myhummy n'a pas été oublié.

    Tout comme les 10 tétines qu'elle aime retrouver dans son lit en s'endormant.

    J'ai conservé les mêmes rituels de coucher qu'à la maison (bain, biberon, berceuse, mots d'amour chuchotés à l'oreille et bisous tout doux).

    Nous avons choisi une chambre pour elle seule (comme à la maison) que je lui ai laissé le temps de découvrir avant la première nuit.

    Le résultat ?

    11 nuits sur 12 sans réveil nocturne.

    De longues siestes (jusqu'à 4h - soit 4 fois plus qu'à la maison).

    Des réveils matinaux à 7h00, voire à 8h00 (et non pas à 6h00 comme à son habitude).

     

    Bref, vous l'aurez compris : la Boulette a mieux dormi dans la campagne lotoise que dans notre appartement bruxellois.

    Certes, le premier jour, avec le voyage, fût un peu chamboulé. Il a fallu 24h à la Boulette pour retrouver un rythme.

    Mais par la suite, nous n'avons plus rencontré de problèmes.

    La Boulette s'est adaptée facilement à sa nouvelle chambre, à sa nouvelle maison, à ce nouvel environnement.

    Toutes les nouveautés rencontrées, les découvertes et ses premiers pas ont eu pour effet de ravir la Boulette, et de la fatiguer.

    Elle était également beaucoup stimulée par ses 3 cousins et 2 soeurs, ainsi que par la présence de ses deux mamies, de sa marraine.

    Elle était tout le temps dehors, dans le grand jardin, pour écouter les oiseaux, jouer avec les graviers, sentir les fleurs, regarder les autres enfants jouer dans la piscine.

    De nombreuses activités donc, de l'agitation, qui ont assommé la Boulette une fois l'heure de la sieste ou de la nuit venue.

     Ce qui, vous vous en doutez certainement, était très apprécié par ses parents.

     

    Lorsque l'heure du retour à la maison fût venue, j'étais donc confiante.

    Avec un peu de chance, la Boulette conserverait son rythme des vacances, et me laisserait enfin faire quelques grasses matinées (comptez 7h30 donc).

    Mouais.

    Ben non.

    Les deux premiers jours à la maison, la Boulette a eu beaucoup de mal à retrouver le sommeil facilement (elle mettait parfois près de 2 heures pour faire sa sieste, et pour s'endormir le soir). Un temps de ré-adaptation probablement nécessaire.

    Quant aux grasses matinées, elles semblent réservées aux vacances, puisque depuis notre retour, ma fille a retrouvé ses bonnes vieilles habitudes et se réveille à 6h00, tous les matins.

    La Boulette a donc retrouvé son rythme habituel.

    Les vacances sont bien terminées.

     

     

     

     

     

     


    1 commentaire
  •  

    Les vacances sont finies.

    La Boulette, le Chéri et moi sommes de retour au bercail, après deux semaines de vacances qui sont passées à une vitesse fulgurante.

    Trop courtes donc, mais intenses.

    Aussi bien pour la Boulette que pour sa maman.

    J'en parlerai sans doute en long et en large dans mes prochains billets, mais si je devais, pour faire court, résumer en quelques mots ces derniers jours, ce serait ceux-ci :

     

    Découvertes

    Émerveillement

    Progrès

    Prise de poids

    Fatigue

    Émotions

    Premières fois

    Chaleur

    Rires

     

     Des moments uniques donc, passés en compagnie de ma Boulette, qui n'est plus la même petite fille à l'arrivée qu'avant notre départ.

     Mon bébé a grandi. De manière aussi fulgurante que sont passé ces 12 jours en dehors de notre appartement.

     La voici qui marche désormais, mais qui, paradoxalement, n'a jamais été aussi proche de moi que depuis qu'elle avance seule sur ses deux jambes. Comme si cette nouvelle capacité l'angoissait un peu, la Boulette semble avoir plus que jamais besoin de sa maman - j'ai un bébé accroché à ma jambe en permanence.

    La Boulette a aussi grandi dans le sens premier du terme. Je le vois à ses vêtements dans lesquels elle semble bien plus à l'étroit qu'avant de partir. Ce qui est certain en tout cas, c'est qu'elle a pris du poids. Cela m'a été confirmé par les puéricultrices de la crèche lors de son retour. Il faut dire que la Boulette a découvert de nouvelles saveurs en vacances qu'elle a particulièrement appréciées (entre autre, les glaces à l'eau et le fromage de brebis).

     Mais ce qui m'a le plus surpris est le développement cognitif que j'ai pu observer durant ces quelques jours.

    Je n'ai plus à faire avec un bébé, mais à une petite fille qui comprend, entend, mémorise, s'exprime, imite et reproduit.

    Ainsi, il est maintenant facile pour la Boulette de désigner dans un livre des images correspondant au mot (simple et qu'elle connait) que je prononce (balle, guitare, coccinelle, vache, canard, pot...).

    Elle n'hésite pas à "nourrir" ses poupées à l'aide d'une cuillère et d'une petite assiette, et me signifie clairement qu'elle aimerait manger seule.

    Dès qu'elle entend un son qui l'interpelle (une voiture, le chant d'un oiseau, le "tut" du micro-ondes), la Boulette positionne son doigt dans son oreille en prononçant un "oh!" de surprise puis un "oh?" interrogatif, me demandant ainsi si j'ai entendu, moi aussi.

    En vacances, la Boulette a également fortement développé son attirance pour les fleurs (et les cailloux). Lors de promenade, il faut donc s'arrêter devant chaque pissenlit et autre mauvaise herbe. Elle a également bien saisi qu'elle ne pouvait pas les toucher sans autorisation, mais bien les sentir. La Boulette s'approche alors de la fleur, la bouche en cul de poule, respire tout en faisant "mmmmmh", ce qui ne manque pas de me faire sourire, à chaque fois.

      Désormais, la Boulette accepte de rester (un peu) dans un caddie. Chaque matin, pour me laisser souffler un peu, le Chéri et son frère partaient faire des courses et emmenaient la Boulette avec eux. Obligée de s'y conformer, la Boulette s'est donc promenée dans un caddie, chaque matin (pour autant qu'elle ai un morceau de pain à grignoter).

     L'attrait de la Boulette pour la danse et la musique ne fait également que croître. Ses livres sonores ont plus que jamais la côte. Dès qu'elle entend une chanson qui lui plait (ses préférées étant sans contestes les comptines des Titounis), la Boulette se dandine, gesticule, tape du pied (pas en rythme, mais c'est déjà pas mal) et "danse" avec ses mains.

    Bref, la Boulette a grandi.

    Au niveau moteur, au niveau cognitif, et au niveau émotionnel.

    Mon bébé ne l'est plus tant que ça (mais hors de question pour moi de l'affirmer tout haut!).

     

     


    2 commentaires
  •  

    Je vous en avait parlé il y a quelques semaines (ici) ; cette année, nous partons en vacances en famille.

    Jolie maison de location avec sa piscine et ses nombreuses chambres, vaste jardin et même des chevaux dans les prairies environnantes pour le plus grand plaisir des enfants (et des grands qui comme moi rêvent de remonter sur un cheval). 

    Et le grand départ, c'est demain !

    Enfin, pour nous (la Boulette et moi) car le Chéri et ses 2 grandes filles sont eux déjà en route puisqu'ils ont préféré la voiture à l'avion.

    La Boulette n'étant pas une grande fan des longues distances sur autoroute, j'ai préféré opter pour un voyage plus court, mais qui promet d'être intense.

    L'avion est en effet une grande première pour la Boulette.

    Même si j'ai hâte de lui montrer le monde de là-haut, je redoute fortement la réaction de ma fille lorsqu'elle se retrouvera contrainte de rester tranquille sur les genoux de sa mère, au moins durant le décollage et l’atterrissage.

    Elle qui ne supporte pas l'immobilisme ni la promiscuité va devoir s'adapter à l'espace réduit d'un petit avion rempli de vacanciers.

    J'ai bien sûr prévu de quoi tenter de l'occuper (quitte à télécharger des vidéos des Titounis sur mon téléphone), mais, connaissant la Boulette, je doute que cela soit suffisant.

    Je me vois donc déjà faire des aller-retours incessants entre les deux extrémités de l'appareil, le tout sous le regard probablement amusé/curieux/agacé (au choix) des passagers ayant eu la malchance d'être assis côté couloir et des hôtesses de l'air.

    Mais qu'importe, il vaut mieux cela à des heures d'hurlements d'ennui en voiture, aussi confortable soit-elle.

    (N'empêche, souhaitez-moi bonne chance silvouplé)

    Soit, mis à part le trajet qui risque d'être sportif autant pour mon dos que pour mes oreilles, les vacances s'annoncent agréables (et surtout méritées).

    Je risque d'être assez peu présente sur le blog ces deux prochaines semaines, mais ne manquerai pas de vous relater toutes les aventures de la Boulette dès notre retour !

     

    Bonnes vacances à tous !!

     

     


    2 commentaires
  •  

     La Boulette a bientôt 14 mois (le temps passe trop viiiite !).

    Depuis plusieurs mois déjà, elle passe son temps debout, à longer les meubles sur lesquels elle trouve appui.

    Il ne restait donc plus qu'une étape pour entrer dans le monde des marcheurs : se lâcher, et se lancer.

    Et c'est chose faite depuis quelques jours, puisque je la surprends régulièrement à lâcher son appui pour en rejoindre un autre, le tout en effectuant un ou deux pas toute seule.

    Il m'arrive aussi de me positionner à 1 mètre d'elle et de lui tendre les bras, l'incitant à me rejoindre.

    Elle tend alors les bras vers mois et "marche" deux pas, avant de s'écrouler en riant dans mes bras.

    Des touts petits pas donc, mais qui, en tant que maman, représentent un grand pas dans son évolution motrice.

     

    Ps : Notez que je ne suis absolument pas pressée que la Boulette gambatte partout... Je cours déjà assez derrière elle alors même qu'elle file à 4 pattes...

     


    1 commentaire
  •  

    Mais ils sont où tes cheveux ma Boulette ?

     

    Vous ne pouvez pas me voir, mais sachez que des cheveux, j'en ai (nan, c'est pas moi sur la photo).

    Comme tout le monde, oui.

    Sauf que je fais partie de cette catégorie de personne qui ont beaucoup de cheveux.

    Beaucoup de cheveux.

    Trop de cheveux.

    Des cheveux épais, volumineux, et pour couronner le tout, que je porte longs.

    Très longs.

    Et très bruns.

    Il est donc facile de me confondre avec une portugaise, voire une turque.

    (Heureusement, ma pilosité excessive s'arrête aux cheveux - oui vous saurez tout)

    Et cette crinière méditerranéenne, c'est une histoire de gènes, puisque ma mère et grand-mère possèdent (aient, pour la seconde) la même tignasse.

    Le Chéri quant à lui n'est pas en reste.

    Sa chevelure foncée est aussi bien abondante, bien que ses cheveux soient très fins.

    Aucun doute donc lorsque j’imaginais la tête de ma future Boulette alors qu'elle grandissait dans mon ventre :

    Elle aurait forcément très vite de longs cheveux foncés et épais, que je pourrais m'amuser à peigner, à tresser (bref, maman joue à la poupée).

    Ouais.

    Sauf qu'en fait non.

    La Boulette avait bien les cheveux noirs lorsque j'ai vu sa bouille pour la toute première fois.

    Mais ceux-ci s’éclaircissent depuis sa naissance.

    Et... ils ne poussent pas, ou très peu !

    Que dire de leur épaisseur... inexistante !

    Et des épis indomptables avec lesquels elle se réveille tous les matins...

    Bref, je suis encore bien loin de pouvoir lui faire une tresse (ou de pouvoir lui mettre une minuscule barrette).

    Ma fille est châtain clair.

    Elle a des cheveux extra fins et extra courts.

    Tout le contraire de sa mère.

    Mes gênes capillaires ont dû se faire la malle au moment de la conception.

     

    (Et je n'ai plus aucun doute : le responsable est bien le Chéri, puisque - même si jusque-là il avait toujours attribué cette faiblesse capillaire à son ex - ses deux premières filles ont toujours eu des cheveux qui ne poussaient pas).

     

     


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique