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Il y a quelques semaines, j'ai présenté à la Boulette des crayons de couleurs pour la première fois.
Premier bébé oblige, j'étais toute excitée à l'idée de voir ma fille réaliser son premier gribouillage sa première oeuvre d'art.
Déception totale, puisque la Boulette elle a trouvé plus amusant de jouer avec la boite qu'avec les crayons eux-mêmes, ne semblant pas percevoir l'intérêt d'utiliser ses feutres autrement qu'en les mettant en bouche.
Soit, ce n'était sans doute pas le moment de développer son côté artistique.
Cependant, ces dernières semaines, la Boulette a fait d'énormes progrès.
Elle marche, signe de plus en plus, grandit à vue d’œil, veut manger seule, pige tout (ou presque) et, surtout, a développé une passion pour une activité ô combien intéressante : renverser son biberon afin de pouvoir étaler d'un doigt assuré les gouttelettes d'eau sur le parquet.
Ce week-end pluvieux était donc l'occasion de ré-itérer l'expérience mais cette fois avec de la peinture à doigt.
Voici le récit de cette initiation riche en couleurs.
Etape 1 : S'équiper (et protèger tout ce qu'on peut)
Après un aller-retour au magasin où j'ai opté pour de la peinture à doigt spécifiquement adaptée aux touts petits qui auraient tendance à vouloir goûter à ces nouvelles textures colorées, j'ai également trifouillé dans mes armoires afin de trouver une vieille nappe tâchée (mais si vous avez une bâche en plastique, c'est encore mieux) afin de protéger en partie le sol de notre salle à manger.
J'ai également investi dans un petit tablier en plastique (qui s'est révélé être trop grand pour la Boulette) histoire de protéger (un peu) ses vêtements.
Finalement, le plus simple, étant donné la température agréable de l'appartement, était tout simplement de la mettre en couche, pieds nus, avec son petit tablier.
Etape n° 2 : Découvrir
Pas inné de savoir quoi faire avec un pot de peinture. De fait, maman montre l'exemple (noter de s'équiper soi-même pour la prochaine fois) et trempe son doigt dans le petit pot de peinture puis sur la feuille de dessin.
La Boulette parait étonnée et répète alors l'opération (sans pour autant lâcher le couvercle du pot de peinture pour lequel elle a tout de suite montré un intérêt non feint).
Etape n° 3 : Tenter de nouvelles expériences
Plonger son mini doigt dans un pot de peinture et l'étaler sur un bout de papier, c'est fun. Mais pas autant que de tremper son mini doigt dans un pot de peinture et de l'étaler sur son corps, selon la Boulette.
La peinture à doigt est donc vite devenue de la peinture de corps, que ça plaise ou non.
Etape n° 4 : Rééditer ?
Oh oui c'est sûr ! On en refera, de la peinture de corps à doigts. Mais la prochaine fois, maman mettra un tablier, elle aussi...
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Je vous en ai parlé à plusieurs reprises dans ce blog : Je signe avec la Boulette depuis plusieurs mois.
(Pour plus d'infos sur cette manière de communiquer avec son bébé, c'est ici).
A 11 mois, la Boulette a signé pour la première fois le mot "Bibi".
Ensuite, c'est "encore" qu'elle s'est mise à signer.
Depuis, elle use et abuse du signe "encore" dès que quelque chose lui plaît.
Qu'il s'agisse de nourriture, de jeux, de chansons, ou de n'importe qu'elle chose qu'elle souhaite voir se reproduire (la grue dans le chantier d'en face qui bouge, appuyer sur le bouton de l’ascenseur, se faire chatouiller par maman...).
Bien sûr, comme tous les enfants de son âge (et pas seulement les bébés signeurs), la Boulette fait aussi "au revoir" de la main, tout comme des "bisous" (comprenez mettre sa main à plat sur sa bouche puis la retirer d'un coup sec vers la personne à qui elle s'adresse pour lui envoyer son affection).
Certains signes cependant, que je lui apprend depuis le début (manger, bain, eau notamment) n'ont jamais été reproduit, du moins pas encore. Mais elle les comprend bien, tout comme les mots que je prononce.
Que je lui dise "on va prendre le bain" ou que je lui signe "bain" sans même prononcer le mot, et là voilà qui se lève et prend ma main pour m'emmener dans la salle de bain.
Elle comprend donc, signes et mots, mais ne se donne probablement pas la peine de les reproduire.
Ces derniers jours cependant, j'ai introduit les signes "lumière" et "livre".
Le premier, lumière, parce que j'ai pour la première fois depuis quelques semaines dû rallumer sa veilleuse "ananas" (qui ressemble à ça) avant de la coucher (car on n'y voyait plus clair dans sa chambre le soir - merci temps pourri). Elle a directement été très attirée par cette lumière orangée.
Obnubilée, je lui ai donc, à plusieurs reprises, répété le mot lumière tout en lui signant.
L'introduction du second signe s'est fait naturellement car elle adore les livres. Elle possède notamment un livre cartonné d'images lié au sommeil dont elle adore tourner les pages. Une des images est un livre. Lorsqu'elle y vient, je lui signe donc le mot "livre", tout comme lorsque je lui propose de lui raconter une histoire ou d'écouter un de ses livres sonores dont elle raffole.
Il n'a pas fallu 2 jours à la Boulette pour reproduire ces 2 signes.
Dès lors qu'elle voit un abat jour, un néon, une veilleuse ou n'importe qu'elle source de lumière, elle le pointe du doigt et signe "lumière".
Lorsqu'elle tombe sur l'image du livre dans son petit imagier, elle reproduit le signe "livre", tout comme elle se dirige vers ses livres lorsque je lui signe.
Rapidement et selon son intérêt, la Boulette est capable d'apprendre et de reproduire de nouveaux signes.
Je continue donc, de plus en plus confortée par les bienfaits de cette communication si particulière, à signer avec elle, et à introduire des signes qui nous permettent d'échanger et de mieux se comprendre.
Sur le même thème :
Signer avec bébé : La langue des signes pour communiquer avec bébé
Bébé signe : Premier signe de la Boulette à 11 mois
Bébé signe : Un nouveau signe pour la Boulette
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Aaaah le week-end !
On l'attend dès le lundi matin.
On s'encourage en décomptant les jours de la semaine, n'ayant qu'une hâte : arriver au vendredi soir où deux jours de liberté s'offrent à nous.
Grasses matinées, far niente, petit footing (ça va pas nan?), shopping, canapé, ciné, resto entre amis...
Et pourquoi pas même un City trip en last minute ?
Si vous êtes maman, vous le savez très certainement :
Ce genre de rêve week-end appartient au passé.
Car oui, les invitations de dernière minutes, les réveils programmés à 10h00 le samedi matin et les dimanches devant la télé font désormais partie de votre vie de jeune adulte dont l'unique responsabilité était d'être capable se se lever pour se rendre au boulot le lundi matin.
Mais vous n'êtes plus une jeune adulte sans responsabilité.
Car vous êtes devenue maman.
Et depuis lors, vos week-end ressemblent plutôt à ça... :
6h00 : réveil en sursaut par un bébé qui vous appelle en pleurant comme si rester un peu tranquillement dans son lit (histoire de laisser maman se réveiller en douceur) était la pire des choses au monde.
6h01 : maman est debout, mode zombie, se hâtant (autant que faire ce peut à cette heure matinale) vers la chambre de son bébé pour le prendre dans ses bras et le rassurer (et surtout, faire cesser ses hurlements - torture pour les oreilles).
6h30 : Bébé est toujours dans les bras de maman, qui a bien tenté 18 fois de le poser pour se préparer un café histoire de tenir debout les 14 heures qui suivent, mais sans succès, bien sûr.
6h45 : Biberon de lait avalé. Maman elle est toujours en attente de son café.
6h47 : Bruits suspects provenant du fessier de son bébé chéri. Direction table à langer (où bébé hurle à la mort quand maman l'y couche - ce qui a comme unique avantage de réveiller papa qui jusque là ronflait comme un bien heureux).
7h05 : Bébé propre et habillé. Maman est toujours en pyjama, décoiffée, suante après ce tour de force, et toujours à jeun.
7h10 : Bébé semble maintenant suffisamment réveillé pour accepter d'être déposé. Direction tapis de jeu où maman tente par tous les moyens d'attirer l'attention de son bébé chéri afin de l'occuper - 1 seconde d'ennui et le revoilà qui râle.
7h45 : Il n'est pas encore 8h00 du matin, et maman a déjà imité la poule, la chèvre, le cochon, le chien, le cheval, raconté 2 histoires, chanté 6 comptines, construit 3 tours en cubes que bébé s'est réjoui de détruire, évité 2 chutes, un étouffement et une griffure de chat mécontent de s'être fait tiré la queue.
8h00 : Bébé commence à sérieusement s'impatienter d'une telle inactivité (WTF ?!?). Maman prend son courage à deux mains et décide de s'habiller pour sortir se promener.
8h45 : Après 45 minutes à tenter de se préparer avec un bébé qui s’accroche aux jambes de maman en hurlant sa frustration d'être ainsi laissé à l'abandon, maman est fin prête (comprenez, vêtue comme un sac, à peine coiffée, pas maquillée - mais habillée - et c'est déjà pas mal).
9h05 : Arrivée au parc animalier après quelques kilomètres en voiture passés à écouter "Pirouette-cacahuète" et "promenons-nous dans les bois" avec un bébé au comble du bonheur et qui signe "encore" à la fin de chaque chanson.
10h40 : Petit passage chez mamie après avoir nourri les moutons, observé avec attention les poules et les lapins, croisé 3 "wou-wou" (comprenez chiens), rigolé aux éclats sur la balançoire, avoir exigé faire du tape-cul sans partenaire (ce qui vaudra à maman des courbatures le lendemain), discuté de longues minutes (en langage bébé) avec un petit garçon qui n'en avait visiblement que faire de ces attentions, avoir frotté ses mains dans la terre et le sable mouillé, et hurlé à la mort quand maman a tenté de remettre son monstre en poussette.
11h15 : Retour à la maison pour la panade de midi mijotée par papa. Hors de question de ne faire "que" manger. Maman chante donc, encore et encore, en faisant des guili-guili, en proposant des cuillères de panades aux figurines "singe", "lion" et "grenouille", avec un bébé qui exige aussi de manger seul, le tout en essayant de la nourrir (un peu).
12h00 : Heure de la sieste. Maman couche bébé, et s'écroule dans le canapé pour souffler, et manger un peu (car oui, maman est toujours à jeun).
14h00 : Hurlements provenant du baby-phone. Bébé est réveillé. Le deuxième round commence.
14h30 : C'est l'heure des courses. Le frigo est vide. Maman et papa emmènent donc bébé avec eux (ce qui permet aussi de l'occuper). Attacher bébé dans son siège, chanter des comptines durant le trajet, arriver au supermarché, détacher bébé, le mettre dans le cadis, lui donner un bout de pain pour l'occuper, arpenter les rayons bondés à la recherche de ce qu'il manque à la maison, empêcher bébé de se mettre debout sur son siège, capituler et le sortir du cadis, courir derrière lui, l'empêcher de vider le rayon biscuit, finir par devoir porter bébé dans ses bras tout en poussant et en remplissant le cadis, faire la file à la caisse, retourner à la voiture, ré-attacher bébé, re-chanter les comptines sur le trajet du retour, monter bébé et les sacs de course dans l'appartement, ranger les courses, et mourir à petit feu.
16h00 : C'est l'heure du goûter. Papa se remet en mode "roi de la panade" tandis que maman tente de faire patienter bébé qui meurt de faim (et qui l'exprime bruyamment).
16h30 : Bébé s'ennuie. Il est temps de ressortir pour une nouvelle ballade. La poussette étant réservé aux bébés paresseux (d'après mon bébé), c'est à pied (et à bras) que l'on ressort se promener. Maman est fatiguée. Bébé pète pleine forme.
18h00 : C'est l'heure du dîner. Bébé veut goûter à tout (et tout seul!), et aux morceaux qui plus est. Maman tente de garder bébé (et le sol de la cuisine) propre. Echec total.
18h30 : Au bain. Maman court derrière bébé pour le déshabiller histoire d'éviter une nouvelle crise sur la table à langer. Bébé est fortement intéressé par la cuvette du WC et plonge ses mains dedans. Maman dépitée.
19h00 : Bébé est propre et sec. Maman est trempée de sueur, de shampoing, d'éclaboussures d'eau et des restes du dîner.
19h10 : C'est l'heure du biberon. Hurlements en bonne et due forme lorsque bébé voit que le carton de lait de croissance sort du frigo, et ce jusqu'à ce que la tétine ai atteint sa bouche.
19h15 : Petits jeux (que maman essaient "calmes") sur le tapis. Maman raconte des histoires. Bébé signe des mots. Puis bébé s'excite et grimpe sur la table basse pour s'y mettre debout tout en faisant "bravo". Maman l'entoure de ses bras "au cas où". Bébé descend puis grimpe sur le canapé sur lequel il recommence le cinéma, en plus de se laisser tomber, tête la première sur les coussins. Bébé est content. Maman dépitée (encore).
19h45 : C'est l'heure d'aller au lit ! Gigoteuse, restant du biberon, petite berceuse chantée par maman, doudou en main. Bébé s'endort... Enfin.
20h00 : Maman s'écroule sur le canapé, se dit que ce serait le moment idéal pour lancer une machine, plier du linge, ranger un peu et faire la vaisselle... Sauf que son niveau d'énergie est proche de zéro. Alors, tout en culpabilisant, elle se dit que ce sera pour demain.
21h00 : Maman s'extrait du canapé pour rejoindre son lit, après un aller-retour dans la salle de bain pour (quand même) maintenir un niveau d'hygiène corporel et buccal minimum.
21h07 : Maman s'endort, épuisée, tout en se disant que la semaine n'a même pas encore commencé.
Un samedi comme un autre donc, depuis que je suis maman.
Un samedi à ne m'occuper de rien ni personne sauf de ma fille.
A me consacrer exclusivement à mon bébé.
Parfois, quand la fatigue l'emporte sur la patience,
Quand je n'ai plus l'énergie de répondre à tous ses besoins et ses exigences,
Quand la force me manque pour la porter et l'occuper,
Alors parfois je ressens un brin de nostalgie quand je repense à ces We de jeune adulte sans responsabilité.
Mais, rapidement, ces souvenirs se ternissent.
Tout simplement parce que lors de ces weekend sans contrainte, elle n'était pas là.
Elle est devenue le centre de mes weekend.
Le centre de mon monde.
Ma vie.
Et je continuerai à lui consacrer la mienne.
Du moins jusqu'à ce qu'elle le réclame.
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Peut-être ne vous ai-je jamais raconté pourquoi la Boulette a été surnommée "la Boulette"...
(Ou bien si ? Il faut dire que les 6 premiers mois ma tête était tellement embrumée par le manque de sommeil que je ne saurais le jurer...).
Quoi qu'il en soit, je vous le (re)raconte.
La Boulette est née avec 2kg485 et 46 cm.
Petit mini bébé donc, ce qui nous a valu de devoir rester une dizaine de jours à la maternité après l'accouchement, et quelques examens dont nous nous serions bien passé.
Les médecins voulaient en effet s'assurer que ce petit poids n'était pas causé par une anomalie ou un problème médical, et aussi s'assurer que la Boulette prenne du poids avant de nous laisser sortir.
Soit, nous les avons laissé faire (bien sûr), même si je savais bien au fond de moi que ce petit poids n'était pas anormal, étant donné mes 45 Kg et mon mètre 58.
La Boulette était juste comme sa maman (et, comme dit ma gynécologue "on fait le bébé qu'on sait porter").
Ses premiers mois de vie, la Boulette était toujours au sein (et quand je dis toujours, c'était toujours). Cela apaisait son RGO. Mais elle était également vorace. Elle buvait beaucoup, en petites quantités, tout en gardant son petit gabarit.
De manière assez ironique donc, la Boulette (qui n'avait donc rien d'une boule) est née.
Durant sa première année de vie, la Boulette est restée petite, mince (mais toujours à croquer).
Mais depuis que l'on a fêté ses 12 mois, et surtout depuis ses premiers pas, la Boulette grandit... et grossit... à vue d’œil.
Oh ne vous méprenez pas. La Boulette reste un petit format.
Mais j'ai maintenant le loisir de mordiller ses cuisses "de bébé" sans avoir peut de lui briser le fémur.
Tout comme son petit ventre qui est devenu un "vrai" ventre de bébé, bien dodu et rond.
Cette poussée de croissance, assez impressionnante, a rendu au Chéri son engouement pour les surnoms loufoques (après Jean-Félix et Jacqueline...).
De manière un peu moqueuse mais attendrissante, il l'appelle donc volontiers "Miss Bidou" ou "Madame Bidou", particulièrement lorsque la Boulette se tient assise, nous laissant tout le loisir d'observer sa petite bedaine de bébé.
Bidou ou pas bidou, ma fille n'en reste pas moins ma petite Boulette (rassurez-vous !).
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La température idéale de la chambre de bébé se situe entre 18 et 19 degrés.
En plein été, lors de fortes chaleurs, cette température est souvent largement dépassée, rendant le sommeil difficile à trouver pour nos touts petits.
Les nourrissons, qui ne sont pas encore capable de réguler seul leur température corporelle, souffrent encore plus de cette chaleur nocturne.
Comment aider son enfant à trouver le sommeil lors d'une canicule ? Comment l'habiller pour qu'il en souffre le moins possible ? Comment faire baisser la température de la chambre ? Et quelles précautions prendre pour éviter une éventuelle déshydratation ?
1. Habiller bébé pour la nuit en été
Il est important d'adapter la tenue de bébé pour dormir en fonction de la température de sa chambre. Installez donc un bon thermomètre dans la chambre de son enfant est indispensable afin de surveiller les variations de températures et couvrir bébé de manière adaptée.
Voici quelques indications lorsque la température dépasse les 20 degrés.
Température de 20 à 22 degrés
- Un body manches courtes
- Un pyjama en coton
- Une gigoteuse mi-saison
Température de 22 à 23 degrés
- Un pyjama léger
- Une gigoteuse légère
Température de 23 à 25 degrés
- Un body manches courtes
- Une gigoteuse légère
Température > 25 degrés
Notez que même si la température est supérieure à 25 degrés, il est important de couvrir bébé d'un body. Le coton retiendra la respiration, et évitera ainsi bébé d'avoir froid si la température de la chambre diminue en fin de nuit.
2. Diminuer la température de la chambre de bébé
Afin d'éviter que votre bébé ne souffre de la chaleur durant la nuit, veillez à prendre un maximum de précautions afin de conserver la fraîcheur de la chambre, et ce dès le matin.
Aérer la chambre au bon moment
N'aérez la pièce que lorsqu'il fait frais dehors, c'est-à-dire au petit matin.
Isoler la pièce de la chaleur extérieure
Fermez les volets, stores ou rideaux de la chambre le restant de la journée afin d'empêcher la chaleur et les rayons du soleil de pénétrer à l'intérieur de la pièce.
Humidifier la chambre
Humidifiez la pièce au maximum, par exemple en y faisant sécher du linge. L'humidité dégagée par votre linge fera diminuer la température de la chambre.
Utiliser un ventilateur
Si, malgré tout, la chambre est encore trop chaude et que vous souhaitez la rafraîchir en utilisant un ventilateur, veillez à ce qu'il ne soit pas dirigé vers le lit de bébé afin qu'il ne reçoive pas de courant d'air durant la nuit.
3. Aider bébé à s'endormir quand il fait chaud
Tout comme nous, il est possible que votre bébé ait plus difficile à trouver le sommeil quand il fait chaud. Afin de l'aider à mieux supporter la température élevée, voici quelques conseils.
Bien hydrater bébé
Veillez à ce que votre bébé soit bien hydraté. proposez-lui régulièrement de l'eau durant la journée, ainsi qu'avant et après sa sieste et avant le coucher du soir. Vous pouvez également lui laisser un biberon d'eau dans son lit pour la nuit.
Rafraîchir bébé
Avant de le coucher, n'hésitez pas à tamponner votre enfant avec un gant de toilette d'eau fraîche ou à utiliser un brumisateur. Vous pouvez également lui donner un bain tiède qui l'aidera à diminuer sa température corporelle ainsi qu'à le détendre.
Apaiser bébé
Lorsqu'il fait chaud, les enfants ont tendance à être plus excités et moins détendus. Veillez à bien conserver vos rituels habituels avant le coucher et à les répéter si nécessaire.
Faire dormir bébé dans une pièce plus fraîche
Si la chambre du bébé, généralement située à l'étage, est vraiment trop chaude et que bébé ne parvient pas à s'endormir, tentez de le faire dormir au rez-de-chaussée où, généralement, il fait moins chaud. Installez-y un lit de voyage et expliquez à votre enfant les raisons pour lesquelles il ne dormira exceptionnellement pas dans sa chambre.
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